Le rift est-africain n'en perd pas une goutte
Date Issued
1995Language
frType
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CTA. 1995. Le rift est-africain n'en perd pas une goutte. Spore 57. CTA, Wageningen, The Netherlands.
Permanent link to cite or share this item: https://hdl.handle.net/10568/60778
Abstract/Description
Au-dessus de la vallée du Kerio, sur les pentes occidentales du rift kenyan, vivent les Marakwet. Les femmes cultivent surtout du mil et du sorgho, et les hommes gardent les troupeaux. Les pluies ne suffisent pas aux besoins des cultures ; les...
Notes
Au-dessus de la vallée du Kerio, sur les pentes occidentales du rift kenyan, vivent les Marakwet. Les femmes cultivent surtout du mil et du sorgho, et les hommes gardent les troupeaux. Les pluies ne suffisent pas aux besoins des cultures ; les Marakwet utilisent l'eau des petits torrents, coupés longitudinalement par des barrages de broussailles, de pierres et de troncs d'arbres qui détournent le cours vers des canaux d'irrigation.
Il faut de bonnes connaissances techniques pour contrôler la descente de l'eau. De très longs sillons parsèment les pentes du rift. A une certaine époque, on a vu, sur 40 km d'escarpement, plus de 40 sillons principaux totalisant 250 km de long. Des aqueducs en rondins servent à faire passer le flux par-dessus les ruisseaux ; si la roche est à pic, on construit des terrasses ou des écluses. On répare et reconstruit nombre de ces sillons à l'aide de ciment et autres matériaux modernes.
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Technical Centre for Agricultural and Rural CooperationCollections
- CTA Spore (French) [3719]